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A sunday Morning (Gabriel Hills)

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Mercy Islington

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A Sunday morning
Ft Gabriel & Mercy


Le dimanche matin, c’est un peu le seul moment où ils peuvent profiter de leur matinée tranquille. Le café ouvre plus tard, pour laisser le temps aux clients de faire la grasse matinée (et à eux aussi, ne nous mentons pas). Du coup, en général le dimanche matin, c’est Pancakes. Gabriel est un roi des pancakes (entre autres choses) et il a appris ce savoir-faire à Mercy, qui n’hésite pas à donner un coup de main quand il faut, même si Gabriel ne le lui demande pas forcément.

Ce matin, Mercy est réveillée tôt, trop tôt diraient certains. A peine huit heures du matin. Gabriel dort encore, et elle se glisse doucement hors du lit, veillant bien à ne pas le réveiller. Enfilant sa robe de chambre en pilou pilou, la blonde se dirige vers la cuisine (non sans avoir récupéré son téléphone et son casque pour avoir un peu de musique). Elle allait préparer un petit-déjeuner au lit à Gabriel. Les occasions sont rares. Il est habituellement debout avant elle, et en profite pour préparer le petit déjeuner pour elle. Pas ce matin. Ce matin, elle va pouvoir lui rendre la pareille avec grand plaisir. Autant qu’il aime la choyer, il en est de même pour Mercy envers son adorable chéri. De plus, la semaine passée a été éprouvante pour lui: beaucoup de monde au café, beaucoup de demandes pour son atelier plantes, plus la frayeur qu’elle lui a faite en revenant beaucoup plus tard que prévu à cause d’un monstre rencontré sur le chemin, la rendant affamée et amaigrie à cet homme qui a déjà tant fait pour elle.

Les placard sont ouverts et ustensils, ingrédients et autres nécessaires à la préparation de son petit-déjeuner sont de sortie. Elle se trémousse au rythme des musiques passant dans ses oreilles, mélangeant les ingrédients, produisant pancake après pancake dans un rythme devenu familier. Un peu de bacon avec tout ça, du thé, un jus de fruit et hop! Le tour est joué. Les divers composants se retrouvent placés sur un plateau, avec de quoi assaisonner les pancakes, puis délicatement amenés dans la chambre.

Déposant son fardeau sur la commode à l’entrée de la chambre, elle constate qu’il dort toujours. Elle hésite un instant sur son idée, il a besoin de ce sommeil, mais elle se décide, se disant qu’elle le laisserait se recoucher ensuite s’il en ressentait le besoin. Retirant sa robe de chambre, elle grimpe délicatement sur le lit. Gabriel s’est tourné entre-temps, lui faisant dos, mais ce n’est pas un problème. Arrivée au plus près, elle passe une main tendre dans ses cheveux, avant d’aller murmurer son nom à son oreille, l’appelant doucement, puis terminant par un baiser papillon déposé sur sa joue. Processus qu’elle répète jusqu’à ce qu’il ne se réveille, restant toujours d’une douceur infinie pour cet homme qui est son air frais dans ce monde étrange, son libérateur à jamais.


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Gabriel Hills

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En avant, en arrière, en avant, en arrière, sur le côté. Avec douceur et tendresse, sa main posée au creux des reins de sa tendre partenaire, Gabriel se laisse emporter par les notes de piano, la guitare acoustique et la chaleur des rayons du soleil qui traverse doucement les fenêtres. Les tables du café ont été poussées sur le côté et le carrelage noir accueille leurs pieds nus qui dansent avec assurance. Et si un pied vient caresser l’autre de trop près, tant pis. Ce n’est pas un concours, juste un moment partagé entre deux âmes qui s’aiment sincèrement.

Il se sent si entier, si serein, comme si rien ne pouvait éclater cette bulle de bonheur qu’ils partagent, lui et Mercy et Gabriel est certain que, tant qu’elle se tiendra à ses côtés, aussi fière et belle qu’habituellement, c’est vrai. Une voix douce s’élève du tourne disque de Gabriel et celui-ci ne peut s’empêcher de chanter par dessus, ses cordes vocales résonnant doucement dans sa gorge. Mercy sourit et celui-ci se transforme soudainement en rire alors qu’elle trébuche sur le pied de Gabriel. Il la rattrape avec l’habileté qui les caractérise tous deux et rit tranquillement à ses côtés. Et dans la lumière du matin qui filtre dans leur café-fleur, Gabriel se dit qu’il a atteint le bonheur.

Il redresse son âme-sœur, vient caresser sa joue de la paume de sa main et soupire presque silencieusement. L’odeur du café et des fleurs est omniprésente et représente leur quotidien depuis un petit moment maintenant, un cocon qu’ils ont construit dans l’adversité et les conflits, mais desquels ils sont sortis plus forts et entiers que jamais. Tout ça le fait penser à ses parents, le couple le plus amoureux et soudé qu’il n’ait jamais vu. Il espère un jour honorer autant Mercy que son père a honoré sa mère, la chérir comme le plus précieux des trésors, comme la plus magnifique des fleurs mais jamais comme la plus fragile. Car Mercy est et a toujours été une reine et Gabriel ne pensait être qu’un fou d’aimer tant une femme si belle au dedans et en dehors. Maintenant Mercy est toujours une reine et c’est avec plaisir que Gabriel joue le rôle de son chevalier servant. Il l’aime. Il l’aime comme il n’a jamais aimé personne. Elle est celle qui lui rappelle de respirer. Elle est son soleil, elle est sa lumière, elle est son foyer, louée soit la déesse. Elle est sa famille, elle est sa maison, elle est sa raison de vivre. Elle l’a ramené à la surface alors qu’il errait parmi les vivants. Elle est tant pour lui que les mots ne suffisent pas à l’exprimer. Ne suffiront jamais à lui dire à quel point il l’aime, à quel point elle est tout et bien plus encore. A quel point elle est et sera beaucoup trop bien pour lui. A quel point ce rêve est merveilleux parce qu’elle en fait partie.

Ses yeux se plongent dans ceux de son amour et il la voit se rapprocher, embrasser sa joue, murmurer des mots qu’il n’entend pas. La musique se fait lointaine, le toucher de Mercy un peu moins précis et le décor devient rapidement flou autour de lui, sombre. Mais, étrangement, Gabriel est serein, n’a absolument pas peur. Il laisse les limbes le happer et l’existence reprendre normalement alors que la voix de Mercy atteint ses oreilles.

Oh, tout ça était un rêve. Ou un souvenir, rien qui ne mérite qu’il soit triste ou déçu car il sait très bien qu’il pourrait avoir tout ça avec sa douce. Gabriel sourit sous les baisers de la blonde, se tourne sur le dos et ouvre les yeux sur la plus belle vision que ce monde lui ait donné d’avoir: sa reine, la plus belle femme qui ait foulé la terre à ses yeux.

Il est étrange de voir Mercy debout avant lui, inhabituel. Gabriel murmure un petit “bonjour” et comme dans son rêve, vient passer sa main sur la joue de Mercy avec toute la douceur qui le caractérise. Puis ses sourcils se froncent et il se redresse tranquillement dans le lit.

-Est-ce qu’il est tard?

Il regarde son réveil et voit qu’il a dormi bien plus longtemps qu’à l’accoutumée mais rien d’extraordinaire. Normalement Mercy devrait être en train de s’étirer dans leurs draps à cette heure-ci.

-Tu as fait un cauchemar?

Il attrape ensuite tendrement la main de son petit soleil avant d’y poser un baiser.



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Elle sait quand il se réveille quand elle repère son sourire. En symbiose avec son homme, Mercy se recule la seconde avant qu’il ne commence à se tourner, et lui offre un sourire radieux.

“Bonjour, mon ange.”

Si au tout, tout départ de leur rencontre ce surnom était plus pour taquiner sans méchanceté, aujourd’hui il porte une signification bien plus profonde et surtout, sincère. Tel un ange protecteur, il est le gardien de son bonheur, celui qui l’a sauvée de sa dragonne de mère (au sens figuré, bien évidemment, le dragon). Elle l’en remercie chaque jour qui passe, un jour de plus à ses côtés, un jour de plus enveloppée dans cette douceur qui est la sienne. Son visage se love sans hésitation dans la main qu’il passe sur sa joue, elle se repaît de cette attention et de cet amour qu’il lui offre sans concession.

Elle se rend compte avoir fermé les yeux qu’une fois qu’il retire sa main et qu’elle retourne à la réalité, perdue qu’elle était dans sa petite bulle momentanée. A sa question, elle pointe le réveil d’un doigt délicat, le laissant observer par lui-même. Sa prochaine question la surprend un peu, et elle cligne des yeux une fois avant d’avoir un petit rire attendri.

Mercy se demande encore parfois ce qu’elle a pu faire de si bien dans une vie antérieure (ou même dans celle-ci) pour qu’on place Gabriel sur sa route. Qu’on lui offre un tel goût de bonheur au quotidien. Récupérant sa main, elle la pose sur la joue du roux avant d’aller déposer un petit baiser sur ses lèvres, un sourire sur les lèvres.

“Pas du tout. J’ai même dormi comme un charme!” s’exclame-t-elle avec joie “Peut-être que nos déesses se sont mises d’accord pour me laisser une occasion de te chouchouter un peu?”

Sur un nouveau mini baiser volé, elle se lève du lit et va chercher le plateau qu’elle a apporté plus tôt et le dépose sur le lit, se réinstallant de l’autre côté ensuite.

“Ca a dû refroidir un peu.” dit-elle, n’en semblant pas plus embêter que cela pourtant. “C’était une trop belle occasion pour la laisser passer.” Une de ses mains passe tendrement dans les cheveux de Gabriel. “Tu fais toujours tant pour moi, je voulais en faire de même ce matin. Je sais que tu me diras que tu n’as pas besoin de ça, mais ça me fait plaisir.”

Il lui demande rarement quelque chose Gabriel, malgré ses questions régulières, alors elle fait en sorte de prendre les occasions qui se présentent à elle.


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Il y a quelques années, si on avait dit à Gabriel qu’il finirait comme ça, réveillé dans son lit par la femme qui détient son coeur, tendrement accueillit par un surnom affectueux qui veut dire tellement de choses pour eux-deux, il n’aurait pas ri. Il aurait probablement fait demi-tour, le coeur meurtri par une idée si apaisante, si plaisante, si peu pour lui. Parfois encore, il pense à sa famille, à ce qu’ils ont subi par sa faute et il pense au bonheur opalescent dans lequel il baigne régulièrement. Il se dit que la vie est injuste. Qu’on a pas finalement que ce qu’on mérite. Parce que lui, lui a tellement plus et dans les moments peu fréquents où il y pense, son coeur se broie de douleur.

Il se souvient encore du temps pas si lointain où il errait à la recherche d’une raison de vivre. Sa famille était tout pour lui, avait été le centre de son monde si longtemps et après ça, avec la déesse, il avait fait de son mieux pour se concentrer sur les autres. Mais Mercy, Mercy l’avait recentré sur lui-même. L’avait aidé à refaire surface, à exister en entier, à être Gabriel Hills, l’homme qui aimait les plantes et faire des boissons chaudes, de la pâtisserie et chanter aux fleurs pour les faire grandir. Elle l’avait aidé à accepter de vivre avec elle comme seul pilier de sa vie et, même si ce fait pouvait s’avérer un peu effrayant, Gabriel était conscient de la force de caractère de Mercy. Elle pouvait déplacer des montagnes et il l’épaulerait jusqu’en enfer et même après s’il le fallait. Alors finalement, c’est entre ses mains qu’il est le plus en sécurité. Sa Mercy, sa belle et tendre douce Mercedes. La femme qu’il aimerait appeler sienne, un jour ou l’autre. Il voudrait la sertir de bijoux, l’enrouler des soies les plus précieuses et lui offrir tout ce dont son coeur pourrait vouloir. A la place il lui offre une présence, une oreille pour écouter, une épaule pour l’accompagner, des bras pour l’enlacer, un coeur pour l’aimer. Pour toujours et à jamais.

Il se frotte les yeux, doucement, la quiétude induite par son rêve entrelacée de l’inquiétude à l’idée que sa douce ait fait un cauchemar. Cette dernière se dissipe dans l’air, effacée par le joli rire de Mercy qui provoque un sourire tendre sur les lèvres de Gabriel. A son tour, il laisse sa joue aller à l’encontre de la main si douce qu’elle tend et partage un baiser avec sa petite amie, dans une atmosphère de quiétude quotidienne.

Il rit un peu à l’allusion aux déesses et ferme les yeux un instant, remercie sa déesse dans une prière silencieuse, pour ce nouveau jour de beauté qui se lève sur leur foyer, lui promet une offrande, un peu de raisin qu’il fera brûler un peu plus tard dans la matinée et sent une présence se faire sentir, comme si sa prière avait été entendue. Puis elle disparaît comme à l'accoutumée et Gabriel rouvre les yeux pour trouver un plateau sur ses genoux, légèrement surpris.

-Oh… Oh Mercy c’est vraiment trop, il ne fallait pas.

Il la regarde avec tendresse et profite calmement de la caresse dans ses cheveux. C’est quelque chose qu’il adore, qu’on lui touche les cheveux, il ne lui a jamais dit. C’est…quelque chose d’intime pour lui, un geste dont il a perdu le souvenir si ce n’est la sensation d’un amour profond manifesté par ce geste. C’est ancré en lui, ce besoin de passer sa main dans les cheveux de Mercy autant que faire se peut, de les brosser, de l’aider à les coiffer et lorsqu’elle fait de même, Gabriel sent son coeur fondre.

Avec le vrai festin qui s’étend sur le plateau, il est bien en peine de trouver les mots. Une légère rougeur vient flotter sur ses joues alors qu’il a du mal à accepter ce geste adorable. Pas qu’il se sente mal vis-à-vis de l’intention. Mais dans les faits, Gabriel est quelqu’un qui s’occupe des autres. Comme pour la respiration, c’est quelque chose de naturel chez lui et, plutôt que de profiter immédiatement de ce que lui présente sa douce, il porte un regard sur elle, tendre, bien qu’un peu gêné.

-J’espère vraiment que tu ne t’es pas levé exprès, avec la semaine que tu viens de passer, tu mérites tout le sommeil que ton corps peut supporter, mon amour.

Il lui lance ensuite un sourire doux avant d’embrasser sa joue.

-Partageons, d’accord? Je suis sûr que c’est excellent.

Avant même qu’elle ne lui réponde, Gabriel assaisonne ses pancakes comme Mercy les aime le mieux, avant de les couper tranquillement en bouchées facilement transportables de la fourchette à la bouche. Il prend ensuite une bouchée du petit-déjeuner, faisant ainsi honneur à la cuisinière de ce matin, avant de boire un peu de jus de fruit. Il peut laisser le thé à Mercy, il se fera un café plus tard dans la matinée. Avec une poigne assurée, il saisit la fourchette et présente une bouchée à sa douce.

-J’avais raison, c’est excellent. Goûte?
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Elle le savait, qu’il allait trouver son geste “trop”, mais elle l’a fait quand même, parce qu’elle refuse de prendre pour acquis la présence et les attentions de Gabriel. Elle le sait serviable et aussi épris d’elle qu’elle ne l’est de lui (et elle n’a pas besoin de pouvoir voir le fil les reliant pour le savoir, même si elle le pouvait), ce qui n’est pas une raison pour qu’elle ne puisse pas avoir des attentions pour son amour. Elle a conscience que son amour, ses gestes tendres, tels que passer ses mains dans les cheveux de Gabriel, et sa joie de vivre suffiraient à l’autre Paladin pour être heureux, mais Mercy veut faire plus que cela pour lui. Elle effacerait tous ses soucis si elle le pouvait, elle ferait en sorte qu’il vive dans un monde où il n’aurait jamais à se battre, jamais inquiété d’une quelconque créature qui en voudrait à leur vie rien que pour leur nature…Elle fera tout ça et plus pour lui. Il est le premier en dehors d’Archie à lui offrir un environnement de vie sain, aimant, vrai et simple. Une vie où on ne lui demande rien d’autre que d’être elle-même. Un amour si pur, elle n’aurait jamais osé en rêver avant de le rencontrer et aujourd’hui elle ne peut vivre sans.

A sa réflexion un peu gênée, elle se contente de hausser les épaules, comme pour dire “c’est pas grand chose”, sans ajouter un mot. Elle le pense, de toute façon. Vu tout ce qu’il fait pour elle, toutes les attentions, tous les repas et petits déjeuners qu’il prépare sans une complainte…Faire le petit déjeuner de temps en temps lui fait le plus grand plaisir, surtout si ça lui permet de voir ce joli rose lui monter aux joues.

“Si par ‘levée exprès’ tu veux dire avoir mis un réveil pour être debout avant toi, non. Et je pourrais dire la même chose pour ta semaine, mon ange.” dit-elle, en le pokant sur l’épaule plusieurs fois, pour le taquiner, son sourire revenant en force alors qu’elle repasse une main dans les cheveux de Gabriel. “Je vais bien. J’ai simplement dû dormir suffisamment pour que mon corps soit content la nuit dernière.”

D’un hochement de tête, elle acquiesce à la proposition de Gabriel, s’installant en tailleurs tout contre lui, lui laissant cependant l’espace nécessaire pour bouger. Elle se saisit de la tasse de thé, en prenant une gorgée avant de reposer la tasse, attrapant un bout de bacon à la main pour l’amener à sa bouche pendant que son chéri assaisonne et coupe les pancakes. Elle ne se fait d’ailleurs pas prier pour manger la fourchette qu’il lui tend, et termine sa bouchée avant de répondre.

“Il faut dire que j’ai eu un excellent professeur. Doué, pédagogue, patient…” elle a ponctué chacun de ses derniers mots par un petit baiser contre son épaule “Après le petit déjeuner, qu’est-ce que tu voudrais faire? On a encore du temps avant d’aller ouvrir le café cette après-midi…”

Elle? Oh, il ne lui faudrait pas grand chose, passer des heures dans les bras de son ange personnel, juste à profiter de sa tendresse et elle est au paradis.


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Gabriel n’est pas spécialement quelqu’un de tactile. Il n’est pas spécialement quelqu’un qui ne l’est pas, non plus. Il s’aclimate, comme il le fait souvent dans tout ce qu’il fait: silencieusement, il prend la place qu’il doit et si on a besoin de lui tactile, alors il le devient. Si on refuse qu’il touche, il ne le fait pas. Mais avec Mercy, avec Mercy, il absorbe chaque sensation, chaque toucher, chaque son. Il se découvre chaque jour un peu plus et se rend compte à quel point il aime qu’elle le touche. Il laisse échapper un petit “hum” appréciatif quand elle pousse son épaule du doigt et laisse sa tête tomber sur sur épaule avec douceur pour faciliter le passage de ses doigts dans sa chevelure courte. Il la laisse le rassurer avant de se redresser et de replacer le plateau devant eux pour manger.

Juste regarder Mercy manger peut combler Gabriel. Il sait qu’il est très important qu’elle se nourrisse et sa relation avec la nourriture n’as pas toujours été le fleuve tranquille que le paladin d’hestia essaie de mettre en place dans leur quotidien. Le rapport de Mercy aux aliments, à la vie en général mais cette part là plus précisément à été tellement contrôlé par sa mère que Gabriel se souvient de leurs premiers repas ensemble avec tant de tristesse. Il a fallu du temps et énormément de communication pour pouvoir arracher les racines viciées que la mère de Mercy a implanté dans son coeur et son cerveau, avant qu’elle ne  comprenne et n’accepte cette nouvelle alimentation comme étant la sienne. Et la voir manger de tout et n’importe quoi est si satisfaisant. C’est d’ailleurs un sentiment que Gabriel partage avec Archi, le frère de Mercy, à chaque fois qu’ils l’invitent à partager leurs repas. Il coupe les pancakes, rougit un peu devant le compliment, un sourire ravi sur les lèvres alors qu’il mâche son petit déjeuner accompagné de sa belle.

Il se repaît de chaque baiser, chaque caresse qu’elle lui prodigue et soupire de bien être. On pourrait penser que ce genre de bulles qu’ils partagent tous deux est exceptionnelle tant ils profitent l’un de l’autre mais non, depuis trois ans, c’est un quotidien merveilleux et une surprise constante. Gabriel est certain qu’il n’arrivera jamais à s’habituer à ce bonheur, attendant toujours que le soufflet retombe. Mais c’est tant mieux parce que, comme ça, il n’oublie jamais à quel point il a de la chance d’avoir Mercy dans sa vie. Il se demande régulièrement si c’est ce que son père pensait aussi avec sa mère.

Il avale quelques bouchées de nourriture en plus avant de pousser doucement l’assiette vers Mercy sur le plateau et de boire une grande rasade de jus de fruit. Il regarde au dehors et voit le temps peu clément. Il ne pleut pas, pas encore, mais ça ne devrait pas tarder. Les gens ne risqueront pas de se mouiller pour un café et quelques pâtisseries, qu’il a préparé la veille. La journée devrait être douce et c’est tant mieux. Mais pour ce matin, pour ce matin Gabriel rêve juste de se recoucher aux côtés de Mercy et de paresser au lit comme il le fait si peu. Son petit soleil a raison, la semaine a été chargé et riche en événements pour eux deux et il se sent moralement un peu fatigué. Il se frotte les yeux comme il le fait seulement quand il commence à être abattu ou quand il a utilisé son don divin et sourit à sa belle.

-Nous pourrions juste nous recoucher? Juste un peu, rester dans cette pièce, sous ces draps encore chaud et profiter l’un de l’autre. Je pourrais te lire un livre, celui que j’ai commencé l’autre jour?

Il embrasse sa tempe doucement et joue avec le bout des cheveux de Mercy, les roulant avec douceur autour de son index et son majeur, les déroulant ensuite avant de laisser sa main remonter doucement et se perdre  à la base de sa nuque, continuant de jouer avec ses cheveux dans une habitude sereine.
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Isolée et garder loin de tout réel contact, autre que professionnel, avec d’autres laisse des traces chez la blonde. C’était la punition préférée de sa mère après tout: l’isoler des autres, même de son frère, quand Mercy osait essayer de se rebeller. Alors aujourd’hui qu’elle peut toucher, communiquer et assouvir son besoin de contact avec les autres, elle ne se prive pas! Gabriel est le réceptacle le plus régulier de ses attentions, sentant bien que le roux aime quand la jeune femme déploie son affection tactile envers lui. Mais Archie en fait aussi les frais, ainsi que tous ceux qui ne lui demandent pas de garder ses mains pour elle. Allons, elle n’est pas une rustre non plus, elle entend plus que bien qu’on ne soit pas à l’aise avec n’importe qui touchant sans en avoir l’autorisation. Elle respecte le souhait des gens et, même quand on lui en donne l’autorisation, ne sort pas de la bienséance: une main sur le bras, l’épaule, une embrassade parfois. Elle est tactile et a besoin de contact humain, mais elle respecte les limites des autres. Les siennes ont si souvent été bafouées par sa propre mère qu’elle ne peut que respecter celles des autres. “Ne fais pas à autrui ce que tu n’aimerais pas que l’on te fasse” comme on dit. Mais dans les bras de son amour, impossible de vraiment résister tant il est réceptif à ses attentions, et vice-versa d’ailleurs.

Le reste du plateau disparaît dans un silence léger, calme, les deux amants prenant le temps de déguster sans se presser. Mercy fait un sort assez radical au bacon, il faut bien le dire. Dire qu’il n’y a pas si longtemps que cela, son apport en viande se limitait à de la dinde et du jambon blanc…La jeune femme a bien conscience, à présent, que son rapport à la nourriture était tordu et presque malsain à cause de sa mère. C’est bien grâce à Gabriel, qui s’est efforcé à lui cuisiner des plats qui ne heurtent pas son esprit encore malade tout en y intégrant de plus en plus de choses, et Archie qui l’a poussée à aller voir un psy pour l’aider à effacer les stigmates envers la nourriture de son esprit, qu’elle a pu se sortir de cette spirale infernale dans laquelle elle était enfermée. Parfois, une petite voix dans son esprit, malicieuse, et bien loin de celle, rassurante et encourageante, de sa déesse, lui susurre des choses horribles quant à ce qu’elle mange…Puis elle voit le regard que Gabriel pose sur elle quand il la regarde manger et la voix est promptement tue, défaite dans son essai de la faire replonger.

Son regard se teinte d’inquiétude en le voyant ainsi se frotter les yeux. Il ne le fait que rarement, et bien souvent suite à l’utilisation de son don…Elle sait ce qu’il peut provoquer et va ouvrir la bouche quand Gabriel la devance et fait une proposition qui surprend énormément la belle. Ca se lit sur son visage dont les yeux sont ouverts tout grands, avant de cligner un peu des yeux, puis finalement sourire en grand en imprimant complètement ce qu’il vient de dire. C’est si rare qu’il prenne du temps à se reposer comme ça, elle ne va pas laisser passer une telle occasion! Comme animée d’un coup, elle prend le visage du roux entre ses mains et dépose un baiser sur ses lèvres avant de se reculer et d’attraper le plateau.

“Donnes-moi un instant pour déposer tout ça dans la cuisine, puis je reviens!”

Elle se lève et file vers la cuisine, faisant une micro pause à la porte de la chambre, tournant la tête vers son amour encore dans leur lit avec un grand sourire et un petit couinement de joie avant de finir le chemin et de déposer le plateau sur un plan de travail, plaçant la vaisselle dans l’évier avec un peu d’eau. Elle revint ensuite dans la chambre, grimpant dans le lit sans se faire prier. Elle a l’impression d’être une gamine le matin de Noël. Tranquillement, elle se glisse sous les draps, incitant le roux à s’allonger avant de s’installer tout contre Gabriel dans un soupir de bien-être.

“C’est rare de te voir rester au lit comme ça…Tu crois qu’on pourrait en faire une habitude hebdomadaire?” demande-t-elle, les bras croisés sur la poitrine du Paladin et le menton perché sur ses mains, un sourire mutin aux lèvres. “Les dimanches matins au lit…On prendrait notre petit déjeuner en ouvrant le café l’après-midi. Juste toi, moi, ce lit, et du temps loin de tout rien que pour nous deux.” Elle glousse à l’idée. Puis se redresse pour s’appuyer sur un coude, plantant sa tête sur un poing tandis que son autre main trace des dessins sans queue ni tête sur le torse de Gabriel, un sourire tendre sur les lèvres. “Je t’aime.”

Ces quelques mots ne sont pas anodins entre eux. Réguliers, certes, mais jamais dit en vain. Quand l’un d’eux énonce ces mots, c’est qu’il le pense de tout son être. Ils sont trop précieux pour être utilisés en vain. C’est en tout cas l’avis de Mercy.


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Il entend un bruit mat sur la fenêtre de leur chambre, suivi ensuite par une multitude de sons semblables. La voilà, la pluie, si belle qui tombe comme autant de petites aiguilles de joies qui viennent se poser au sol, détrempe tout. Un instant, Gabriel pense à ses plantes, à ses petites pensionnaires qui adoreraient sortir sous la pluie, profiteraient de cette douche bien méritée et hésite à se lever. Il devrait le faire. Un coup d’oeil vers le réveil lui indique qu’à cette heure-ci, habituellement, il est déjà les mains en pleine terre en train de déménager une pensionnaire vers un pot plus grand ou bien les yeux fixés sur la balance à peser les petits sachets de thé maison qu’il fabrique. Pas dans son lit.

Gabriel n’a jamais été une personne qui dort beaucoup, que ce soit avant ou après l’accident qui a touché sa famille. Quand il était plus jeune, il se réveillait avec son frère, discutait de tout et de rien avant d’aller déjeuner. En grandissant ce furent les pleurs de bébés et puis, ensuite, les rires peu discrets des jumeaux qui cherchaient à ne réveiller personne et finissaient par avoir toute la maisonnée. Ses réveils favoris étaient ceux ou Hanniel, ce petit ange, venait se glisser dans son lit pour terminer sa nuit. Il passait du temps à le bercer, à lui chanter des chansons si bas que seuls leurs deux coeurs pouvaient vraiment les entendre. Et puis, après l’accident, les réveils de Gabriels furent remplis de sueurs froides, parfois de larmes, souvent de douleur. Avec Mercy c’était plus doux parce que, même après un cauchemar, elle était dans leur lit pour le rassurer, qu’elle soit elle-même réveillée ou non. Dans tous les cas Gabriel n’est pas homme à faire des grasses matinées et, une fois levé, il reste rarement immobile. Les journées sont si courtes et le travail constant mais, il fallait le dire, il a appris à aimer ça. Travailler lui empêchait de penser trop à sa famille. Et maintenant qu’il a sa propre famille, il peut passer ses journées en sa compagnie, que ce soit au travail ou non.

Il admire sa belle engloutir son bacon avec une joie non feinte, un sourire tendre sur les lèvres, lui embrasse la tempe, se laisse bercer par la quiétude de la matinée dont les minutes s’écoulent lentement, coulant tranquillement vers la prochaine heure comme les gouttes de pluie glissent doucement de la façade de leur maison sur le sol. Le magasin n’ouvre qu’en début d’après-midi, ils ne sont pas pressés et Gabe n’a pas envie de sortir de son cocon, aujourd’hui. Alors il propose à Mercy de rester au lit et la réaction de celle-ci est un régal. Il regarde avec joie ses grand yeux de biche s’écarquiller de surprise et ne peut empêcher le rire qui remonte sa gorge, grave et joyeux. Il répond à son baiser avec douceur, apréciant le satin de ses lèvres avant qu’elle ne se lève avec l’énergie qui la caractérise tant.

-Je peux le…

Mais déjà sa tendre amie est partie, le plateau dans les mains. Gabriel laisse un soupir passer dans son sourire, pas du tout agacé par l’attitude de Mercedes. Il aime la voir autant enthousiaste. Il reste assis dans les coussins, attrape son livre qu’il pose à la place de sa douce, ses lunettes qu’il met au dessus et patiente quelques secondes de plus avant qu’elle ne revienne se glisser près de lui. Elle l’enjoint doucement à s’allonger et Gabriel suit le mouvement, laisse son dos se couler dans le matelas et sa tête aller à la rencontre de leurs coussins moelleux. Il sent sa belle venir le couvrir de son merveilleux petit corps et, lorsqu’il baisse la tête, c’est pour plonger dans son regard merveilleux plein de tendresse. Ce moment si serein restera gravé à jamais dans son coeur, déjà il le sait. Sans attendre, il vient glisser ses bras autour de sa taille, caresser son dos du bout des doigts puis du plat de ses mains, appréciant le doux poids du corps de celle qu’il aimerait un jour appeler sa femme.

-C’est très alléchant comme idée, ma belle, mais je ne suis pas sûr de me lever un jour si déjà le dimanche le commence à faire ça. Et nous avons tant de travail qui nous attend. Peut-être quelque chose de bi-mensuel?

Il écoute son rire, apprécie son visage sur lequel la joie et le bonheur se manifeste et il sait, que le sien est un parfait miroir de tous ces sentiments merveilleux. Et quand elle lui dit je t’aime, il ne répond pas. Parce qu’il sait, il sait qu’il n’est pas obligé de le faire. Que quand il le dira, ce ne sera pas pour lui répondre mais seulement parce que son amour pour elle débordera encore de son être dans ces mots qui ont tellement d’importance pour eux deux. Il sait qu’elle ne se vexera pas parce qu’elle apporte autant d’importance à ces termes que lui. Elle est au courant, Mercy, que Gabriel lui décrocherait la lune, si elle le lui demandait. Qu’il ferait tout et plus encore pour qu’elle soit heureuse et en bonne santé. Parce qu’il l’aime plus encore que ce monde. Elle est sa lumière. Elle est sa vie. Elle est son phare dans le noir. Et son regard, son regard lui fait passer tout ça. Il laisse ses doigts glisser dans la chevelure de Mercy avant de se redresser pour l’embrasser avec tendresse. Déesse, qu’est ce qu’il peut aimer Mercy Islington. C’est un sentiment qui dépasse l’entendement.

-Pour l’instant profitons de maintenant?

Il se recouche et se met à fredonner une chanson juste pour elle, juste pour eux, juste pour ce havre de paix qu’est leur chambre en ce matin de dimanche.

Paladin
Mercy Islington

Mercy Islington

Paladin

Représentation : A sunday Morning (Gabriel Hills) Fe6f4bfdb4b15e94b7705580e560281feda7693b
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A Sunday morning
Ft  @Gabriel Hills & Mercy Islington


La pluie ne s’enregistre dans son esprit qu’une fois qu’elle est dans la cuisine et que son attention n’est pas divisée entre les attentions envers et de son amour et la nourriture. Le bruit léger de la pluie attire son regard vers la fenêtre de la cuisine et elle l’observe quelques secondes avant de retourner dans leur lit. Temps parfait pour rester dedans d’ailleurs. Mercy aime la pluie, elle aime les couleurs qui se reflètent dans les flaques d’eau, aime l’espèce d’étrange silence qui est présent quand il pleut, quand tous les sons sont atténués par l’eau qui s’écoule du ciel. Elle adore aussi sentir les premières gouttes toucher sa peau, et, si ça ne serait pas un risque pour sa santé, elle passerait des heures à danser sous l’eau si elle le pouvait. Pas aujourd’hui. Aujourd’hui et plus particulièrement ce matin, elle a la chance de pouvoir profiter de Gabriel au calme, dans leur lit, sans autre chose à faire que de profiter de la présence de l’autre sous les couvertures.

De retour entre les bras du roux, Mercy se fait tendre comme jamais, profitant allègrement de cette proximité qui n’est jamais loin, jamais refusée, même lorsqu’ils sont au travail. Elle propose, parce qu’elle est comme ça la blonde, de faire de ces moments calmes et si doux une habitude hebdomadaire et la réponse ne se fait pas attendre, lui tirant une petite moue boudeuse. Une seconde à peine, car dans le fond, il accepte l’idée, juste pas aussi souvent que ce que propose la jeune femme. Un nouveau sourire étire ses lèvres et elle hoche la tête, ramenant une mèche blonde dissidente derrière son oreille par la suite.

“Deal, bi-mensuel dans ce cas.”

Elle a obtenu gain de cause et ça lui suffit amplement. En cet instant, son amour menace de déborder hors de son petit corps et elle utilise ces mots qui sont à la fois si réguliers et si précieux pour les deux amants. Rien que ce qu’elle voit dans les yeux de Gabriel suffit à lui assurer ce qu’elle sait déjà: jamais ils ne s’éloigneront l’un de l’autre sans en être forcés par des forces de dehors de leur contrôle. Car soyons clairs: la première personne qui tenterait de les séparer s’en mordrait les doigts. Pour tout ce qu’elle peut avoir l’air frêle, douce et la parfaite représentation d’une demoiselle en détresse dans l’imaginaire collectif, Mercy peut se montrer particulièrement vindicative et combative. Surtout quand il s’agit de protéger celui qui a redonner sa liberté à l’oiseau en cage dorée qu’elle était il n’y pas si longtemps que cela. Elle ne peut s’imaginer une vie sans lui à ses côtés. Plus maintenant. That ship has sailed depuis le jour où il lui a offert ce sourire si doux, si tendre dans ce coffee shop quelques années plus tôt. La paladin préfèrerait encore mourir que de passer le reste de sa vie sans Gabriel auprès d’elle.

Un léger soupir de contentement s’échappe de ses lèvres en rendant le baiser qui lui est offert et elle glisse la main qui se trouvait sur le torse de Gabriel vers son cou, une caresse légère, avant de hocher la tête, se rallongeant auprès de lui. Elle écoute la chanson qu’il fredonne, se laissant bercer par sa voix, avant de le suivre en suivant la mélodie sans ouvrir la bouche, laissant sa voix suivre les notes sans autre but que de l’accompagner. Ils restent ainsi quelques instants, puis, quand le silence est revenu, elle reprend la parole.

“Si tu pouvais faire un souhait, n’importe lequel, là, maintenant, qu’est-ce que ça serait?”

Cet interlude musical a laissé la belle à penser à eux, à elle, à ce que l’avenir leur réserve et elle s’en inquiète un peu. De par leur nature, parce qu’elle a un souhait dont elle est terrifiée (encore des séquelles de l’influence de sa mère sur elle ça…)...Alors elle veut savoir ce que souhaite son amant, celui sans qui elle ne serait pas là aujourd’hui. Elle veut pouvoir combler ses désirs, ses besoins…


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